Points important du Racing Club de France Foot ball

  • 1882 : Création du Club Sportif du Racing Club Français.
  • 1896 : Le département football est créé.
  • 1936 : Vainqueur de la Double Coupe.
  • 2007 : Le département football redevient indépendant sous le nom de RC France football 92.
  • 2012 : Retour à Columbus, le club devient RC France Football Colombes 92

La création et le premier succès du Racing Club de France Football

Le 20 avril 1882, les élèves du lycée Condorcet à Paris fondent le « Racing Club » pour améliorer leurs conditions de pratique sportive, notamment la course à pied. En 1885, il prend le nom de « Racing Club Français » et bénéficie l’année suivante de la concession d’un terrain au Bois de Boulogne, la Croix-Catelan, s’imposant ainsi rapidement comme le grand club sportif de la zone de statut de la bourgeoisie. de l’ouest parisien. Sa première grande partie est l’athlétisme et le tennis. A la fin des années 1880, le Club Ciel et Blanc, à l’instigation de son secrétaire général, Georges de Saint Clair, crée avec le Stade de France la Fédération française des associations d’athlétisme (USFSA), fédération qui fait de la protection de l’amateurisme l’une de ses priorités. Lorsque les premières équipes « Association of Football » voient le jour en France, le Racing préfère avoir une section « rugby », sport encore amateur en Angleterre. Ce dernier a remporté le bouclier de Brennus en 1892, 1900, 1902, 1959, 1990, 2016.

Finale malheureuse des années 1950

Si l’équipe déçoit encore en championnat 1949-1950 (7e, à 15 points des Girondins de Bordeaux, premier titre), elle revendique alors avec assurance le titre en Coupe de France, notamment l’élimination Caen (2-0), Seth (5- 2), Lille encore en première mi-temps (2-0), Nîmes en première mi-temps (3-0). Le match est considéré comme le favori le 14 mai, jour de la finale de Colomb, puisqu’ils sont opposés au Stade de Reims, qui aurait disputé la finale de la coupe pour la première fois s’il avait gagné l’année précédente , en appréciant Après un cours relativement simple . Le record d’affluence du stade Yves-du-Manoir (61 722 spectateurs) et la recette (11 477 000 francs) sont à nouveau battus. Les coureurs semblaient être les favoris bien mérités : ils dominaient largement Reims dans la première étape et faisaient deux fois mieux que Gudmundsson et Tessier. Le gardien adverse Paul Sinibaldi s’est dit par la suite « ébloui » par la « brillante présentation. Le succès du Parisien a encore échappé aux Parisiens en seconde période, hors-jeu et une accusation contre Robert Junket ont été évoqués. quand Quinol s’est vu refuser deux buts lorsque le poteau a de nouveau sauvé Reims. La fin de match est brutale : un jeune Francis Mayano ouvre le score pour Reims, qui double la mise quelques instants plus tard. Le club champenois a remporté la victoire du capitaine (et futur entraîneur de Reims) Albert Batteux, dont il reconnaît qu’il a été particulièrement chanceux. Paul Baron et ses joueurs n’ont pas remporté la sixième coupe tant convoitée. Rien n’a été ajouté depuis.

Succès du club de foot Racing Club en Europe

Vice-champion de France en 1961 et 1962. En 1963, il est invité en tant que représentant de la France à participer à l’ancêtre de la Ligue européenne – la Coupe des Foires Urbaines. Contrairement au Rapid Vienne en demi-finale de l’UEFA Champions League 1961, le Racing a perdu le match aller en Autriche avec le dernier but du match. De retour à Paris, il ouvre le score par Guy Van Sum mais encaisse rapidement trois buts. La baisse du score d’Abderrahman Mahjoub n’a rien changé et le Racing a été éliminé dès le premier tour. L’Autrichien a été éliminé au tour suivant par l’Espagnol de Valence, futur finaliste.

Le joueur emblématique du Racing Club Foot

Le joueur le plus titré du Racing fut Gusti Jordan, milieu de terrain autrichien arrivé à Paris en 1933, naturalisé quelques années plus tard, vainqueur du championnat en 12 saisons au Racing (sans manquer un match) et il remporta les quatre premiers trophées de la Coupe de France. Ses coéquipiers réguliers étaient Émile Veinante, Edmond Delfour, Raoul Diagne, Rudi Hiden, Maurice Dupuis, Maurice Banide et Jules Mathé (qui ont tous dépassé le standard des 100 matchs de Serie A pour le ciel et le maillot blanc).

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